Many moons ago, Botanique was the name of a summer concert series held in the botanical gardens of the University of Bologna, right next to the Department of Physics and Astronomy, where I studied. On hot days, I often ate lunch under the canopy of the old trees, watching saplings rise and frogs leap in the pond. Then I would return to my work, probing the hidden structures of Nature with data from CERN, using cutting-edge computing tools.
The name Botanique stayed with me. It became a symbol of common ground where respect for Nature at every scale meets human interaction, and where science and life coexist in harmony.
Il y a de nombreuses lunes, Botanique était le nom d’une série de concerts d’été organisés dans le jardin botanique de l’Université de Bologne, juste à côté du département de physique et d’astronomie où j’ai étudié. Lors des journées chaudes, je déjeunais souvent sous la voûte des vieux arbres, observant les jeunes pousses et les grenouilles de l’étang. Puis je retournais à mon travail, explorant les secrets les plus profonds et les plus obscurs de la Nature à travers les données du CERN, à l’aide d’outils informatiques de pointe.
Le nom Botanique m’est resté. Il est devenu pour moi un symbole de terrain commun, là où le respect de la Nature à toutes les échelles rencontre les interactions humaines, et où la science et la vie coexistent en harmonie.
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